Une équipe de l’INSERM /INRA a mis en exergue que l’élafine, indispensable aux intestins pour ces propriétés protectrices et anti-inflammatoires n’était plus exprimé chez les patients atteints de MICI. Un nouveau traitement serait donc de traiter les MICI par des prébiotiques riches en élafines. Il s’agirait de modifier génétiquement les bactéries prébiotiques pour qu’elles fournissent de l’élafines. Et ainsi, d’administrer ces bactéries sous forme de produits laitiers ou de gélules.
Daprès : Science Translational Medecine (31 octobre 2012)